Enfin, écrire régulièrement sur ce carnet de route. C’est pas si difficile, il s’agit d’une gymnastique qui peut m’apporter énormement. Degager ce qui m’obsède, livrer à la postérité (haha) tous mes maux et mes névroses.
Sauf que je n’ai pas d’inspiration ce soir … ou si peu.
Une soirée sympathique avec deux de mes meilleurs amis au Gayot à Strasbourg, une amie se joignant à nous, fort jolie me donne envie de tomber amoureux (en général). Mais comme je lui disais d’une autre façon, quelle femme pourrait être à même de porter mon amour, de le partager. Je ne veux plus tomber dans un amour de circonstance, dans une routine affective, et donc si je veux une vraie relation je dois alors chercher le vrai amour.
Le problème est que cet amour je ne l’ai pas ressenti depuis plus d’une dizaine d’années … faut avoir la foi, sinon ça va être long une vie sans relation.
Yelena, ou es tu ? j’aimerai tellement te remercier pour tout ce que je suis devenu grâce à toi. Je t’ai aimé oui, innocemment. Ça n’aurait peut-être pas duré, ou peut-être cela l’aurait-il, je ne saurai jamais. Mais tu as transfiguré ma vision des choses, des gens, à un point tel qu’aujourd’hui encore je te vois partout, à chaque coin de rue, que je pense à ce que j’aurais été sans cette part de moi que tu as fait fleurir.
Merci, je ne veux que te le dire, mes yeux dans les tiens.